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L'effacement désormais possible de la seule nomination paternelle serait-elle le signe de l'affaiblissement de la fonction du père ?
Le discours juridique semble se déployer à partir de ce seul questionnement adossé à une assimilation entre fonction paternelle et autorité.
La chute du nom du père est probablement moins signifiante dans le social que ne l'est sa disparition dans le titre même de la loi et son remplacement par le terme « nom de famille ».
La perte de l'autorité par défaut de nom du père est alors le signe d'un retour au clan tel que celui ci a été explicité par Freud.
Ce pouvoir serait désormais contenu par et dans un nom de famille valant, au sens lacanien, nom-du-père.
Introduction
Chapitre 1 L’indifférence de la loi au Nom-du-Père
SECTION 1 – LE TEXTE DE LA LOI
§. 1 – Le préalable législatif
§. 2 – Les dispositions de la loi
SECTION 2 – LE NOM DU PÈRE N’EST PAS LE NOM DU PÈRE
§. 1 – L’avènement historique du nom
§. 2 – L’affrontement du nom du père au Nom du Père
Chapitre 2 Le rappel à la Loi par le nom de famille
SECTION 1 – LES ERRANCES DU NOM
§. 1 – Le changement de nom
§. 2 – les défauts du nom
SECTION 2 – DU NOM COMME TOTEM, AU RAPPEL DU TABOU
En guise de conclusion
Quelques pistes bibliographiques
Table des matières
Collection | Publications de la faculté de droit et des sc |
Année de publication | 2009 |
Langue | Français |
ISBN10 | 2-84287-475-9 |
ISBN13 | 9782842874759 |
Format | Livre broché |
Pages | 113 |
Discipline | Psychologie, Education |
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